Accastillage : C’est l’ensemble des accessoires qui sont sur le pont du bateau comme les manilles, les mousquetons, etc.) et qui servent pour utiliser les voiles.
Affaler : Le plus souvent, cela veut dire faire descendre la voile en libérant la drisse. Mais cela peut aussi vouloir dire faire descendre un objet qui se trouve dans le gréement ou un équipier monté au mât.
AIS (Automatic Identification System) : C’est un système d’échanges automatisés de messages entre navires par radio VHF qui permet aux navires et aux systèmes de surveillance de trafic (CROSS en France) de connaître l’identité, le statut, la position et la route des navires se situant dans la zone de navigation. Nous avons à bord un AIS récepteur mais pas émetteur. On reçoit donc seulement les positions des navires émettant mais on ne nous voit pas en retour.
Alizés : Ce sont des vents permanents, situés dans les régions intertropicales. Dans l’hémisphère Nord, ils soufflent du nord-est au sud-ouest.
Allure : Désigne la direction d’où provient le vent, sur un voilier qui avance grâce à ses voiles. Par exemple, le vent arrière est l’allure d’un voilier qui avance avec un vent soufflant sur son secteur arrière.
Amarre : Bout qui sert pour amarrer le bateau (l’attacher) sur une bouée ou à un taquet sur un ponton.
Amer : C’est un point de repère fixe et identifiable sans ambiguïté. Il peut être officiel pour entrer dans une passe ou un port (une tour par exemple) ou simplement choisi pour vérifier sa route, ou pour que son bateau ne bouge pas au mouillage. Dans ce dernier cas, on en choisit plusieurs au loin et en perspective, ce qui permet de vérifier qu’on ne dérape pas par exemple.
Amure : Désigne la position d’un bateau par rapport au vent ou plus précisément le côté où les amures reçoivent le vent. On dit bâbord amures quand le bateau reçoit le vent par bâbord (gauche) ou tribord amures quand il le reçoit par tribord (droite).
Anémomètre : C’est un appareil qui permet de mesurer la vitesse du vent et sa direction. Il est situé en tête de mât.
Ancre : Pièce métallique (acier, inox ou aluminium) que l’on plonge dans l’eau sur le fond et qui sert à maintenir le bateau en place au mouillage. Elle est liée au bateau par une chaîne ou un câblot qui a également toute son importance dans la sécurité du mouillage. Nous avons choisi une ancre Spade, type charrue lestée, de 20kg (légèrement surdimensionnée) et nous en sommes ravis.
Aussière : Bout qui sert pour amarrer le bateau (l’attacher) sur une bouée ou à un taquet sur un ponton.
Bâbord : Bâbord désigne le côté gauche d’un navire et, par extension tout ce qui se trouve à gauche du navire lorsque l’on regarde vers l’avant. Tribord est l’autre côté.
Barres de flèches : Pièces métalliques qui servent à la structure du mât dans lesquels passent les haubans : elles les écartent du mât pour maintenir celui-ci en position.
Bimini : Taud de soleil au dessus du cockpit. Il protège du soleil et des intempéries. Le nôtre est bleu foncé, dans le thème des autres éléments semblables du bateau (capote, bande UV pour le génois, etc.).
Bossoirs : Dispositif de levage installé sur notre portique arrière pour hisser ou affaler l’annexe.
Bout : Le terrien appellerait ça cordage mais pour un marin, toutes les cordes sur un bateau s’appellent bout ! Après, certains bouts ont une appellation plus précise, les drisses par exemple qui hissent les voiles, les écoutes qui bordent ou choquent les voiles, etc.
Boysboat(s) : C’est le nom employé pour les locaux qui viennent t’accueillir dans un mouillage, souvent en barque (à la rame ou au moteur). Pour t’aider à mouiller, te vendre des fruits et légumes, du poisson, etc. Ils peuvent être plus ou moins insistants (et demandent toujours des sous en retour) mais on n’a jamais eu de souci avec eux à dire non si on n’avait pas envie. On en a vu surtout aux Grenadines et en Dominique pour l’instant.
Câblot : Filin entre la chaîne qui retient l’ancre et le bateau, pour agrandir la longueur du mouillage. Ses caractéristiques sont l’élasticité pour amortir les mouvements du bateau ainsi que la résistance à la rupture.
Cabotage : Navigation de mouillages en mouillages, proche des côtes.
Caldeira : Sorte d’immense cratère au milieu de volcans. Ce n’est pas forcément le cratère d’un unique volcan mais plus l’effondrement de volcans tout autour, qui forme un trou souvent circulaire et plus profond.
Carré : Pièce principale à l’intérieur du bateau. Nous avons des banquettes et une grande table dans notre carré. La cuisine est située en long côté bâbord.
Caye : Zone proche d’une côte, de faible profondeur, en sable ou en corail.
Ciguatera : C’est une intoxication alimentaire due à une maladie chez certains poissons, qui la contracte à cause d’une algue dans les récifs corralliens. La toxine s’accumule de plus en plus dans la chaîne alimentaire, donc on ne peut pas consommer les poissons prédateurs tels que les barracudas ou autres carnivores.
Ciseaux : Le génois est gonflé du côté opposé à la grand-voile. Il peut être maintenu ainsi grâce à un tangon pour plus de facilité. Etat possible seulement vent arrière.
Clearance : Manifeste d’entrée ou de sortie d’un bateau dans un pays. Papier remis par la douane autorisant le navire à entrer ou sortir.
Cockpit : Le cockpit, c’est l’espace extérieur principal du voilier où se situe la barre à roue et les commandes du moteur. Nous avons aussi des bancs (avec coussins extérieurs) pour s’asseoir et une capote qui nous protège du soleil (ou de la pluie).
Collectivo : Nom donné aux taxis collectifs dans certaines îles ou pays. Ce sont des sortes de mini-vans qui transportent des passagers, et plus on est nombreux, moins on paye cher normalement !
Comedor : Petit restaurant ou cantine dans les pays d’Amérique centrale. La nourriture est souvent au prix des locaux, avec un menu simple proposé.
Dinghy : Mot anglais pour désigner l’annexe.
Dollar bélizéen : Monnaie utilisée au Bélize (mais on peut aussi utiliser les dollars US sur place). Le taux de change au moment où nous y étions était de 1 EUR = 2,28 BZD.
Dollar de Trinidad et Tobago : Monnaie des deux îles (nomination officielle ISO : TTD). Le taux de change au moment où nous y étions était de 1 EUR = 7,89 TTD. On le nomme dans nos articles $TT.
Dollar des Caraïbes orientales : Monnaie utilisée par Antigua et Barbuda, la Dominique, Grenade, Saint Christophe et Nieves, Saint Vincent et les Grenadines, Sainte Lucie, Anguilla et Montserrat (nomination officielle ISO : XCD). Le taux de change au moment où nous y étions était de 1 EUR = 3,21 XCD. On le nomme dans nos articles EC$.
Drisse : La drisse est un cordage servant à hisser une voile ou un pavillon. Par exemple, la drisse de grand-voile sert à hisser la grand-voile en tête du mât.
Dyneema : C’est une fibre de polyéthylène ultra résistante (15 fois plus que l’acier) produite en utilisant un processus de rotation de gel breveté. Ce cordage résiste aux UV, à la torsion, à l’abrasion, est léger et comme il a une faible élongation, il peut être utilisé comme drisse ou écoute.
Empannage : Empanner consiste pour un voilier à changer d’amure (côté duquel le voilier reçoit le vent) en passant par le vent arrière, donc cela veut dire tourner dos au vent.
Épissure : C’est un assemblage de deux cordes ou deux câbles mit bout à bout par l’entrelacement de leurs torons.
Escudos : Monnaie au Cap-Vert (nomination officielle ISO : CVE). Le taux de change au moment où nous y étions était de 1 EUR = 110,265 CVE.
Etai : C’est le câble qui sert à maintenir le mât longitudinalement vers l’avant. Il est relié à la proue du bateau et à la tête de mât. Nous avons un enrouleur sur notre étai, ce qui permet d’enrouler le génois sur lui-même.
Franc Pacifique : Monnaie en Polynésie française (nomination officielle ISO : XPF). Le taux de change au moment où nous y étions était de 1 EUR = 119,92 XPF.
Génois : Sur notre voilier, le génois est une des voiles qui est installée à l’avant du mât. Il s’enroule autour de l’étai grâce à un enrouleur.
Gréement dormant : Correspond à toutes les parties fixes du gréement (étai, mât, haubans, etc.). Ces câbles servent à tenir le mât de façon verticale et à le régler, avec une incidence sur la forme des voiles et donc sur les performances du bateau.
Grib : Le GRIB (GRIdded Binary en anglais) désigne un format de fichier utilisé en météorologie pour la diffusion de données de prévisions météorologiques et d’images satellites. Par extension, un grib est un fichier de données météorologiques conforme au format GRIB.
Guindeau : Treuil, électrique ou manuel, qui sert à remonter la chaîne et l’ancre. Sur Manwë, il est électrique mais on peut aussi l’utiliser en mode manuel si besoin.
Haubans : Ce sont les câbles, fixés de part et d’autre du mât, qui maintiennent celui-ci rectiligne et dans le plan longitudinal. Fixés au sommet du mât et sur le pont, ils reprennent les efforts transversaux exercés par les voiles et s’opposent à la rupture par flambement.
Henequen : Espèce d’agave, surnommé l’Or Vert, qui fut utilisée par les haciendas autrefois sur la péninsule du Yucatán au Mexique. Ils tissaient la fibre pour en faire des cordages vêtements, des chaussures et des sacs.
Houle : Mouvement ondulatoire de la surface de la mer qui est formé par un champ de vent éloigné de la zone d’observation (vent lointain).
Jupe : C’est une sorte de plateforme qui prolonge la coque arrière du bateau, située juste au-dessus de la surface de l’eau. On peut donc s’asseoir sur cette avancée ou remonter à bord plus facilement, ce qui est plutôt sympa et pratique.
Ketch : Voilier à deux mâts dont le mât arrière, l’artimon, est le plus petit des deux.
Kitesurf : C’est un sport de glisse sur l’eau où le kitesurfeur est tiré par un cerf-volant, le « kite » et surfe sur une planche.
Aile : Cerf-volant qui permet de tracter le kitesurfeur. Nous avons trois ailes de taille différentes (en fonction de la force du vent) : 7, 9 et 11 m².
Backloop : C’est une rotation vers l’arrière en prenant une impulsion et en crantant la planche dans l’eau.
Spot : Lieu de pratique.
Vent offshore : Vent qui vient de la terre et qui va vers la mer.
Strapless : Planche sans straps, c’est-à-dire sans les sangles qui servent à maintenir les pieds sur la planche. Ces planches sont souvent unidirectionnelles comme des planches de surf.
Twintip : Planche qui peut aller dans les deux sens, elle est symétrique. Les pieds sont en « canard » maintenus dans des straps.
Waterstart : Action qui consiste à se lever sur sa planche et commencer à naviguer en s’aidant de la planche et de la traction de l’aile.
Lancha : Correspond aux barques à moteur en espagnol. Au Guatemala et au Mexique, les bateaux publiques de transport étaient nommés lancha.
Largue : Le largue est en navigation à voile une « allure » qui indique que le vent arrive de trois quart arrière du bateau.
Lazy-bag : C’est un sac lié à la bôme pour ranger la grand-voile sur la bôme directement. Très pratique, cela évite de la plier à chaque fois qu’on la redescend.
Lofer : Se rapprocher de la direction du vent.
Maître-bau : Cela correspond à la plus grande largeur d’un navire. Sur Manwë, le maître-bau est de 3,90 m.
Main de fer : Sorte de crochet qui sert à transférer la tension de la chaîne à un bout pris sur un taquet à l’avant du bateau. On l’accroche donc sur un maillon de la chaîne après avoir mouillé, puis on tend le bout et on relâche de la chaîne. Cela évite que le guindeau prenne les efforts et les à-coups.
Mésoamérique : Région culturelle qui regroupe les zones où vivaient les Aztèques, les Mayas et d’autres peuples indigènes en contact avec les Espagnols venus coloniser. Cette vaste région s’étend du Mexique au Costa Rica, en incluant le Belize, le Guatemala, le Honduras, le Salvador et une partie du Nicaragua.
Mille nautique (ou marin) : C’est une unité de mesure de distance utilisée en navigation maritime et aérienne. Il vaut par convention 1852 m.
Mistral : C’est un vent de secteur nord-ouest à nord, très froid en hiver et souvent violent, qui concerne le nord du bassin de la Méditerranée occidentale. Il peut souffler à plus de 100 km/h en plaine, notamment dans la basse vallée du Rhône. Généralement sec et accompagné d’un temps très ensoleillé, son caractère dominant lui confère un rôle important dans l’originalité du climat provençal.
Mouiller / Mouillage : Le mouillage est un terme de marine qui peut désigner:
- un abri sûr pour un navire ;
- une bouée (ou un coffre) reliée au fond par un cordage (ou une chaîne) et maintenue par un corps mort ;
- l’action d’immobiliser un bateau en mer au moyen d’une ancre.
Nœud (symbole nd, kt, kn ou kts) : C’est une unité de mesure de la vitesse utilisée en navigation maritime et aérienne. Un nœud correspond à un mille marin par heure, soit 1852 m par heure (0,514 m par seconde).
Paddle : Du nom anglais « rame ». Abbréviation de Stand Up Paddle (SUP) qui désigne une grosse planche flottante avec laquelle on se déplace debout à l’aide d’une grande pagaie. Génial pour randonner sur l’eau dans les mouillages.
PADI : Professional Association of Diving Instructors. Organisation internationale d’origine américaine de formation à la plongée sous-marine (loisir).
Palanquée : Correspond à un groupe de plongeurs sous-marins qui font la même plongée ensemble : même durée, même profondeur, même trajet.
Pesos mexicains : Monnaie du Mexique (nomination officielle ISO : MXN). Le taux de change au moment où nous y étions était de 1 EUR = 23,15 MXN.
Pattaras : Fait partie du gréément dormant. Câbles servant à tenir le mât vers la poupe du bateau.
Pétole : Zone sans vent.
Pied (en anglais foot, symbole ‘ ou ft) : C’est une unité de mesure souvent utilisée pour mesurer le tirant d’eau ou la longueur d’un bateau. Un pied correspond à 0,3048 m. La longueur de notre bateau n’est pas exprimée en pieds, Océanis 390 signifie qu’il fait 3,90 de large. En réalité, il fait 11,5 m de long.
Pilote automatique : Il est constitué d’un calculateur associé à un gyrocompas et d’un vérin électrique (ou hydraulique) qui actionne la barre à roue. Il sert à tenir un cap compas ou un angle par rapport au vent s’il est raccordé à l’anémomètre.
Plongeur Niveau 2 : Niveau de plongée sous-marine de la FFESSM (Fédération Française d’Etudes et de Sports Sous-Marins). Damien et moi avons tous les deux passés notre niveau 2 dans un club, Aquanature, à Nîmes. Nous avons donc le droit de plonger en autonomie (avec un autre niveau 2) jusqu’à 20 m et jusqu’à 40 m si on est encadré par un club. Equivalent PADI : Advanced Open Water.
Pomme de touline : C’est un lest à l’extrémité d’un bout pour faciliter son lancer, par exemple pour une amarre sur un quai.
Popa’a : Nom donné aux non-Polynésiens en Polynésie française, utilisé depuis l’arrivée des explorateurs européens et ensuite, aux Français et autres nationalités venues vivre sur place. Ce mot est aussi utilisé même pour ceux qui sont nés dans les îles mais de famille non-Polynésienne.
Portant : Allure avec le vent qui vient de l’arrière ou des trois quart arrière du bateau, tel que le largue ou le vent arrière.
Portique : Installation (très souvent en inox) à l’arrière du bateau pour supporter des panneaux solaires, une annexe, un radôme de radar, des antennes, une éolienne, etc.
Posada : Auberge en Espagne et en Amérique Latine.
Posidonie : Les posidonies sont des plantes aquatiques présentes en Méditerranée. Elles vivent sous l’eau, ce ne sont pas des algues mais des plantes à fleurs. Les herbiers tapissent le fond marin et il est souvent interdit de mouiller là où ils sont présents (car l’ancre racle le fond et les plantes et peut en ramener avec elle lorsqu’on la remonte à la surface). La posidonie est une espèce protégée sur les côtes méditerranéennes françaises. On la retrouve ensuite desséchée sur les plages car elle se dégrade difficilement, et s’agglomère en gros paquets brunâtres. Or, même si elle protège le littoral de l’érosion, les municipalités les font souvent retirer pour garder l’attrait des touristes pour les plages.
Poupe : C’est l’arrière du bateau.
Prendre un ris : Equivalent arriser la voile. Cela signifie réduire la surface de voile, essentiellement la grand-voile (pour nous, c’est le cas). On décide de réduire la voile quand il y a trop de vent et que le bateau est trop puissant. Cette opération se fait à l’aide de bouts pré-installés à des endroits stratégiques. Il suffit de descendre la drisse et de « prendre le ris ».
Près : Allure où le bateau remonte au plus proche du vent (comme il ne peut pas être face au vent).
Proue : C’est l’avant du bateau.
Quetzal guatémaltèque : Monnaie du Guatemala (nomination officielle ISO : GTQ). Le taux de change au moment où nous y étions était de 1 EUR = 8,78 GTQ. On le nomme dans nos articles Qxxx (Q avec la somme).
Shipchandler (ou « ship » en abrégé) : Vient de l’anglais « ship » pour bateau et « chandler » pour fournisseur. C’est un magasin d’articles marins, d »équipements et de pièces d’accastillage.
Sloop : Voilier à un seul mât et un seul étai.
Snorkeling : Plongée en apnée ou nage avec palmes, masque et tuba.
Sondeur : C’est un appareil de sondage marin. Il utilise la réflexion par le fond marin ou par un obstacle d’ultrasons émis par un appareil fixé sur la coque.
Speedomètre (ou « loch ») : C’est un appareil qui permet de mesurer la vitesse d’un bateau et sa distance parcourue. Le nôtre donne aussi la température de l’eau.
Spi : Un spinnaker (ou spi) est un type de voile hissée à l’avant d’un voilier lorsque le vent souffle depuis l’arrière du navire (allures portantes : grand largue ou vent arrière). Il se caractérise par une forme triangulaire doté d’un creux important, sa grande surface et le matériau très léger dans lequel il est taillé. Nous avons acheté le nôtre d’occasion, il a des bandes de plusieurs couleurs (blanc, orange, vert…). Il fait 100 m².
Talonner : Toucher le fond avec la quille du bateau.
Tangon : Bras en métal qui sert à maintenir un spi symétrique décalé par rapport à l’axe du bateau. L’écoute attachée sur le tangon s’appelle le bras. On peut aussi tangonné le génois pour le maintenir en ciseaux.
Taquet : Pièce métallique sur laquelle on accroche (amarre) les bouts pour maintenir le bateau ou autre chose.
Tirant d’eau : Le tirant d’eau est la hauteur de la partie immergée du bateau. Elle varie en fonction de la charge transportée. Il correspond à la distance verticale entre la flottaison et le point le plus bas de la coque, usuellement la quille. Notre bateau a un tirant d’eau de 1,65 m.
Tuc tuc ou tuk tuk : Tricycle motorisé qui sert à transporter des passagers.
Traîne : La pêche à à la traîne est une technique de pêche pratiquée aussi bien en mer qu’en eau douce. Elle consiste à laisser traîner le leurre ou le vif derrière un bateau en mouvement, à une vitesse lente ou moyenne, dans les alentours de 3 à 5 nœuds, et jusqu’à 10 nœuds.
Travers : Le travers désigne l’allure à laquelle le vent arrive par le travers du bateau, autrement dit à 90° de l’axe du bateau. Le voilier accélère encore, la gîte est nulle ou quasi nulle, l’influence des vagues par temps moyen est négligeable. Cette allure est souvent optimale tant du point de vue de la vitesse que du confort du marin. Les voiles sont de nouveau écartées de l’axe du bateau pour maintenir un écoulement laminaire du vent sur les voiles.
Tribord : C’est le côté droit d’un navire. Bâbord est l’autre bord. Par extension, tribord désigne tout ce qui se trouve à droite du navire lorsque l’on regarde vers l’avant.
Trinquette : Petite voile d’avant pour remplacer le génois quand le vent monte. Nous avons une trinquette sur emmaganiseur, que l’on installe au moment voulu. Elle permet aussi de mieux remonter au vent au près s’il y trop pour garder le génois complètement déroulé.
Vent arrière : Au vent arrière, le vent provient du secteur arrière du voilier. L’écoulement de l’air sur les voiles est très perturbé et la vitesse du voilier est nettement diminuée par rapport à l’allure du grand largue.
Zarpe : C’est un papier qui correspond au papier de sortie du pays, donné lors des formalités administratives pour quitter l’escale (clearance). Il est quasiment toujours obligatoire de l’obtenir et de le présenter à la destination suivante.